De plus en plus d’enfants présentent actuellement des troubles digestifs récurrents, sans cause apparente. Ballonnements, fatigue, réactions alimentaires… Et si l’intestin en était la cause ? La perméabilité intestinale, souvent appelée « leaky gut », est un phénomène encore méconnu, mais qui peut jouer un rôle dans le bien-être global de l’enfant. Ce déséquilibre silencieux fragilise la barrière intestinale et ouvre la porte à des troubles variés. Pour les parents, apprendre à reconnaître les premiers signaux peut faire une vraie différence. Voici un tour d’horizon clair et accessible pour mieux comprendre ce mécanisme et agir dès les premiers signes.

Pourquoi surveiller l’intestin des enfants dès le plus jeune âge ?

L’intestin n’est pas qu’un simple organe de digestion. Il agit comme une barrière qui filtre les nutriments et bloque les substances indésirables. Chez l’enfant, ce système est encore en construction. Il reste sensible à de nombreux facteurs comme l’alimentation, les infections ou certains traitements.

Une barrière digestive qui fonctionne mal peut devenir trop poreuse. C’est ce qu’on appelle la perméabilité intestinale. Dans ce cas, des éléments étrangers peuvent passer dans le sang. Cela peut déclencher des réactions du système immunitaire ou provoquer des troubles digestifs à répétition.

Les médecins s’appuient de plus en plus sur la médecine nutritionnelle pour mieux accompagner ces troubles. Cette approche aide à comprendre les interactions entre les aliments, le microbiote et l’intestin. Elle propose aussi des solutions douces et adaptées à l’enfant, sans traitements lourds.

Des signes discrets à observer avec attention

Certains signes peuvent alerter. Un ventre gonflé après les repas. Des selles irrégulières, parfois molles ou douloureuses. Des douleurs abdominales fréquentes sans explication précise. Chez d’autres enfants, les signaux sont plus diffus. Fatigue persistante, troubles du sommeil ou difficultés de concentration. L’humeur peut aussi en être affectée. Colères, irritabilité ou tristesse injustifiée peuvent parfois avoir une origine digestive.

Les allergies ou intolérances alimentaires non expliquées doivent aussi interpeller. Elles peuvent indiquer une porosité intestinale sous-jacente. Un bilan auprès d’un professionnel peut alors être utile pour ajuster l’alimentation et éviter les erreurs.

Comment aider l’intestin à mieux se réguler ?

L’alimentation joue un rôle majeur. Il est possible de limiter les produits ultra-transformés, trop sucrés ou trop riches en additifs. Mieux vaut privilégier les repas faits maison, simples, avec des légumes de saison, des céréales complètes et des protéines douces. Certains aliments renforcent naturellement la flore intestinale. Les fibres, les légumes fermentés ou les yaourts vivants peuvent nourrir les bonnes bactéries. Ils aident à rééquilibrer le microbiote, souvent perturbé chez les jeunes enfants.

Parfois, un soutien en micronutrition est envisagé. Certains compléments, comme les probiotiques, les prébiotiques ou la glutamine, peuvent aider à reconstruire la paroi intestinale. Leur usage doit cependant être encadré. Enfin, il ne faut pas négliger le rôle du stress. Même chez les enfants. Un changement d’école, une séparation ou une pression scolaire peuvent fragiliser l’intestin. Des temps de pause, des jeux en plein air et un bon rythme de sommeil participent à un équilibre général.

Le corps a besoin de nombreux éléments pour bien fonctionner. Parmi eux, le zinc joue un rôle majeur. Présent dans l’alimentation, il participe à plusieurs processus biologiques. Pourtant, il est souvent sous-estimé. Manquer de zinc peut entraîner des déséquilibres. Peau fatiguée, défenses affaiblies, récupération difficile… Autant de signaux à ne pas ignorer. Mais comment en profiter au mieux ? Quels aliments privilégier ? Voici un tour d’horizon de ses bienfaits et de la meilleure façon de l’intégrer à votre quotidien.

Les bienfaits du zinc sur l’organisme

Le zinc est impliqué dans de nombreuses réactions du corps. Il soutient le système immunitaire, aidant ainsi à mieux se défendre contre les agressions extérieures. Une carence peut rendre plus vulnérable face aux virus et aux infections. Cet oligo-élément agit sur l’activation des cellules immunitaires, notamment les lymphocytes T, qui participent à la défense de l’organisme. Un apport insuffisant peut ralentir la réponse immunitaire. Parmi les bienfaits du zinc, on note aussi son impact sur la réduction de l’inflammation, ce qui peut aider à limiter certaines maladies chroniques.

Ce minéral joue également un rôle important dans la cicatrisation. Il participe à la régénération des tissus, ce qui en fait un allié pour la peau. Certaines crèmes en contiennent pour apaiser les irritations ou accélérer la guérison des plaies. Il est aussi impliqué dans la production du collagène, une protéine qui aide à maintenir l’élasticité et la fermeté de la peau. Les personnes souffrant d’acné ou d’affections cutanées peuvent tirer parti d’un apport suffisant en zinc, qui aide à réguler la production de sébum.

Il intervient également dans la production de certaines enzymes digestives. Ces dernières facilitent l’absorption des nutriments. Un bon apport en zinc permet donc un meilleur équilibre intestinal. Il joue aussi un rôle dans le maintien d’un microbiote en bonne santé, ce qui aide à prévenir certains troubles digestifs. Les personnes sujettes à des ballonnements ou des inconforts intestinaux peuvent voir des améliorations en ajustant leur consommation de zinc.

Enfin, il influence le bien-être mental. Il soutient les fonctions cognitives et participe à la régulation de l’humeur. Un manque peut parfois entraîner une sensation de fatigue ou une baisse de motivation. Plusieurs études montrent un lien entre une carence en zinc et des troubles de l’humeur, notamment l’anxiété et la dépression. Il participe à la transmission des signaux nerveux et à la production de sérotonine, un neurotransmetteur qui joue un rôle dans l’équilibre émotionnel.

Où trouver du zinc dans l’alimentation ?

Le zinc se trouve dans une grande variété d’aliments. Les produits d’origine animale en sont bien pourvus. Les huîtres, par exemple, en contiennent en grande quantité. Le bœuf, le poulet et les œufs en apportent également. Les abats, comme le foie de veau, figurent aussi parmi les sources les plus riches.

Les végétariens peuvent aussi en consommer à travers certaines légumineuses, comme les pois chiches et les lentilles. Les graines de courge et les noix de cajou constituent également une bonne alternative. Cependant, les phytates présents dans ces aliments peuvent limiter l’absorption du zinc. Faire tremper ou faire germer ces aliments avant consommation réduit cet effet.

Les céréales complètes en contiennent aussi, mais sous une forme moins bien assimilée par l’organisme. Associer ces aliments à une source de vitamine C améliore leur absorption. Les agrumes, les poivrons et le persil peuvent ainsi être de bons alliés pour en profiter pleinement.

Les risques d’une addiction

Les addictions, peu importe le genre, ne sont pas sans risques. Outre les problèmes de santé, plus ou moins graves, il y a les troubles psychologiques qui s’accompagnent de ce genre de dépendance. Les personnes qui souffrent d’addiction ont tendance à se faire isoler du reste de la société. Ce qui entraîne à la longue une dépression, voire, dans le pire des cas, le suicide.
Il y a également les troubles du comportement que cela entraîne. Irritation, phobies, paranoïa, et bien d’autres encore. Les conséquences d’une addiction peuvent mettre des années à se soigner.
Chaque année, le tabac est l’une des principales addictions qui tue en France, à cause des problèmes de santé qu’il entraîne, dont notamment le cancer. En seconde place, vous avez l’alcool puis la drogue. En sachant que les drogues dures tuent petit à petit les neurones du cerveau au-delà des risques d’overdoses.

De nouvelles techniques de soins

Mais heureusement, les experts ont développé depuis quelques années de nouvelles techniques pour soigner les personnes addicts. Vous pouvez rejoindre un institut spécialisé comme https://institutadios.com pour vous aider à soigner votre addiction. Sachez également que contre le tabagisme, vous avez l’alternative des cigarettes électroniques avec des taux de nicotine que l’on peut changer. Contre la drogue, vous avez le CBD et les techniques de sevrage intensives. Contre l’alcool, vous avez l’hypnose et les différentes thérapies.
Les techniques ne se contentent plus de simplement soigner la dépendance. Il s’agira de creuser les sources de l’addiction pour éviter les rechutes. Les soins classiques s’accompagnent d’une psychothérapie et d’un suivi sur mesure avec un psychiatre.

Quand le collier cervical est utile

Avant toute chose, il s’agit d’un dispositif de santé que l’on connait également sous l’appellation de minerve. Placé autour du cou du patient, il sert à immobiliser les vertèbres cervicales. Ce dispositif peut aussi être utilisé pour atténuer les symptômes de la cervicalgie, il peut même aider à venir à bout de cette pathologie. En général, tout secouriste disposer d’un collier cervical dans son équipement, que ce soit un sapeur-pompier ou un ambulancier. Il empêche la tête de bouger tout en réduisant la douleur en cas d’accident. Ce qui va permettre aux vertèbres de se reposer pendant une certaine période : ceux-ci ne pourront pas se déplacer. On peut dire que le collier cervical atténue les douleurs vives liées à un torticolis, que celui-ci soit d’origine traumatique ou inflammatoire. Il est utilisé, dans ce cas-là pour apaiser les muscles, traiter l’inflammation et offrir plus de confort au patient. Le cou sera ainsi immobilisé et le patient sera épargné des lésions cervicales.
Le collier cervical peut aussi être utilisé pour venir à bout des traumatismes ou des entorses. Voilà pourquoi, il est recommandé aux sportifs pratiquant une discipline à risques (ski, arts martiaux, etc.). Il faut aussi s’en servir chez les victimes d’accident de voiture violent. En ce qui concerne l’entorse cervicale, les douleurs peuvent être insupportables et ressenties au
niveau de l’ensemble du cou, les épaules et le dos, voire même s’étendre jusqu’aux bras. La nuque peut devenir raide et le patient peut présenter des céphalées. Tout cela peut aboutir à une lésion de la moelle épinière et causer la paralysie si la minerve n’est pas portée à temps. Dans certains cas, le collier cervical est utilisé pour réaligner la colonne vertébrale. Le médecin peut aussi le prescrire pour traiter les douleurs lombaires. En gros, ce dispositif médical peut aider à traiter certaines pathologies et éviter certains risques plus graves. Voici d’autres cas où il est souvent nécessaire de le porter :
• Traitement de certaines infections ORL : angine, otite, abcès des dents, etc.
• Atténuation de l’arthrose cervicale
• Apaisement des douleurs post-opératoires, etc.

Bien choisir son collier cervical

Il existe différents types de collier cervical dont :
• Le collier cervical C1 ou collier cervical souple
• Le collier cervical C2 ou collier cervical semi-rigide
• Le collier cervical C3 ou collier cervical rigide
• Le collier cervical C4 ou minerve cervicale
Le modèle C1 est conçu avec de la mousse, il soutient légèrement la tête et la nuque grâce à sa grande souplesse. Le cou pourra bouger avec ce modèle mais de manière restreinte. Les muscles seront ainsi au repos et apaisés. On peut dire que ce collier cervical offre un certain confort au patient. Le médecin le recommande souvent dans les cas de torticolis ou bien d’entorses peu graves. Le modèle C2, lui, offre un soutien beaucoup plus prolongé de la nuque. Les mouvements sont réduits avec ce collier cervical puisque le dispositif est équipé d’une plaque semi-rigide capable de corriger la posture de la nuque en même temps. Il est souvent recommandé pour les entorses de forme légère, la névralgie ou le torticolis. Le modèle C3, quant à lui, maintient la nuque avec plus d’intensité grâce à sa rigidité. Il est possible de régler ce modèle en hauteur afin d’immobiliser la nuque. Ce modèle est généralement prescrit en cas d’entorse ou de névralgies. Le dernier modèle est utilisé pour une immobilisation complète des cervicales et de la colonne vertébrale. Il offre un soutien important et limite les douleurs. Le modèle C4 ou minerve cervicale est indiqué en général après certaines chirurgies ou traumatisme grave.

Les différents types d’asthme et leurs facteurs déclencheurs

En général, une crise d’asthme se déclenche à la suite d’une simple inhalation de substance allergisante. Les éléments déclencheurs varient d’une personne à une autre. Le tout, c’est de savoir exactement quelles sont les vôtres et d’adapter votre mode de vie en fonction de vos intolérances. Si le malaise est causé par un allergène, on parle alors d’asthme allergique. Les activateurs les plus fréquents pour ce type d’asthme restent les acariens, les cafards, les poils d’animaux, les moisissures et les pollens. Par ailleurs, dans le cadre de notre vie professionnelle, il se peut aussi qu’on soit confronté à certaines matières qui favorisent la répétition des crises. On parle ici de l’asthme professionnel. Les polluants extérieurs tels que les produits de combustion ainsi que les produits industriels favorisent les crises dans ce cas. En outre, on dit souvent que le sport est favorable à la santé, mais il peut être fatal pour un asthmatique. On appelle ce type de cas, l’asthme d’effort qui, comme pour le stress et les émotions fortes, va provoquer la contraction des bronches et ainsi, une crise sévère.

Prévenir l’asthme au quotidien

Il est possible de se préserver au quotidien en établissant quelques règles de base. Dans la chambre à coucher, éviter la moquette, car elle favorise l’accumulation des acariens. Pour tout ce qui constitue votre lit, privilégiez également les matières synthétiques lavables et changez régulièrement de drap. Préférez les voilages aux rideaux épais et pour les murs, avantagez les papiers peints. Par ailleurs, la cuisine et les salles de bains sont propices à la formation des moisissures. Gardez-les systématiquement propres. Cela repoussera naturellement les blattes et tout autre insecte allergisant. Si le grenier et la cave sont les royaumes de la poussière, le salon n’en reste pas moins sensible. De ce fait, il faut les aérer le plus possible. Favorisez également le canapé en skaï et en cuir qui ne retient pas les acariens.

Face aux repas copieux

Il risque d’être bien gorgé, d’être surchargé, surtout en toxines, et par conséquent, il n’assurera plus ses fonctions. Ce qui veut dire qu’il éliminera moins bien les toxines et votre système immunitaire sera grandement fragilisé. Alors, pour ne pas en arriver là, vous devez prendre soin de votre foie aussi bien avant que pendant et aussi après. Ce qui peut aider votre foie, c’est de suivre une cure de radis noir ou d’artichaut ou un mélange des deux. Et lorsque vous êtes convié à une grosse fête, prenez la résolution de manger moins tout du long. Vous allez certes manger plus mais fixez-vous quand même une limite.

Les excès fatiguent votre foie

Même si ce que vous mangez est quelque chose de bon pour la santé, à partir du moment où vous en consommez trop, alors, il devient néfaste, notamment pour votre foie. Alors, quelques jours avant que vous ne vous rendiez à une fête, une semaine tout au moins, limitez votre consommation d’alcool, éliminez le tabac, stop aux sucreries. Tout cela donne du travail inutile à votre foie, donc, évitez. Ce qui allège cet organe vital, ce sont les céréales complètes, les pommes, les légumes verts, le raisin, les avocats. Essayez d’en manger, même un peu, chaque jour, et après les fêtes, continuez d’en manger pour que votre foie ne fasse pas d’heures supplémentaires. Laissez votre foie se reposer de temps en temps et vous vous en porterez bien.

Mettez en place une politique de prévention

Ceci permet de limiter les risques d’accidents et de maladie professionnelle en entreprise ainsi que leurs conséquences. Pour mettre en place une politique de prévention, il faut d’abord évaluer les risques auxquels s’exposent les salariés dans l’exercice de leurs fonctions. Les résultats obtenus permettent à l’entreprise de hiérarchiser les risques, et par la suite, d’élaborer des solutions adaptées afin de maîtriser les risques à la source. Cela peut par exemple consister à fournir aux salariés des équipements de protection nécessaires à la réalisation de leurs tâches, à la mise en place de bureaux ergonomiques pour limiter les risques de troubles musculo-squelettiques, etc. Il faut également impliquer les salariés. Sans cela, la politique de prévention n’apportera pas de résultat. Il faut d’abord les sensibiliser et les former.

Proposez une mutuelle de santé à vos employés

Toute entreprise doit aussi offrir à l’ensemble de ses employés une mutuelle de santé collective. Pour cela, elle doit contacter des organismes spécialisés comme celui-ci. L’intérêt d’une mutuelle réside dans la prise en charge des frais sanitaires des salariés qui ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale. La mutuelle santé souscrite doit assurer une couverture de santé minimale à tous les employés. Elle doit par exemple prendre en charge à 100 % le ticket modérateur sur les frais de consultation.

Une alimentation saine pour une meilleure santé

Les aliments sont comparables au courant permettant à une lumière de briller. C’est alors un élément essentiel qui fait avancer notre moteur de vie. Il est donc important de consommer des aliments sains et équilibrés. Les nourritures fraiches sont les premiers à privilégier. Certains nutritionnistes recommandent également une consommation de 7 jusqu’à 10 fruits et légumes par jour. Cependant, vous puisez les calciums dans les produits laitiers, les fibres dans les céréales et les protéines dans la viande. Ces aliments jouent un rôle protecteur qui prévient différentes maladies comme l’obésité, le cancer, la maladie cardiovasculaire et le diabète.

«  Le petit déjeuner du matin est un trésor de santé », dit un proverbe tunisien. Ne jamais sauter le petit déjeuner, car il est le plus important. Qu’il soit en effet varié, équilibré et consistant pour assurer le bon fonctionnement du corps durant la journée. Notez également que boire de l’eau constitue une condition sine qua non pour notre survie. Une personne adulte est conseillée à boire 1,5 l à 2 l d’eau par jour.

Les gestes à adopter pour rester en bonne santé

Comme toute chose, le corps a aussi besoin d’un entretien régulier. Un véhicule par exemple doit entrer en garage systématiquement pour voir si tout est OK. Le corps humain quant à lui a besoin d’une visite chez un médecin pour un bilan de santé. D’ailleurs, cette action est idéale pour une meilleure prévention.

Dans ce cas, pour préserver sa vue, un test ou un dépistage chez un ophtalmologue doit avoir lieu régulièrement. Prévoir une visite chez un spécialiste de l’audition est nécessaire pour prévenir certains troubles auditifs. Aussi, une consultation chez un dentiste s’avère utile pour garder des dents éclatantes. Pour trouver les spécialistes près de votre région, faites un tour sur Internet et recherchez le nom du professionnel de santé avec votre ville comme orthodontiste à Lyon. En plus de ce reflexe, il ne faut pas oublier de bouger, s’entrainer à la gym, marcher, nager ou même monter régulièrement les escaliers. En outre, le sommeil est indispensable pour notre santé, nous passons presque 25 ans de notre vie à dormir. Il ne faut donc pas le négliger. Finalement, apprenez à respirer, à relaxer et à fuir toute sorte de stress.

Le bronzage et les coups de soleil : une manifestation de l’agressivité du soleil

Les UV-B à forte dose peuvent être responsable de la destruction cellulaire de la peau. Les mélanocytes se dégradent et se transforment en rougeurs. Ce phénomène indique que vous êtes victime d’un coup de soleil. Selon le niveau de sensibilité, les effets du soleil peuvent se transformer en brûlure ou en vieillissement cutané précoce.

Le mélanome: une manifestation du cancer du soleil

Les UV-A sont capables de traverser la peau et d’attaquer les cellules nourrissantes et réparatrices. Celles-ci favorisent l’apparition des rides prématurément. L’ADN peut être également affecté par les UVA-A et les UV-B, que celles-ci sont de naturels ou créés artificiellement. Dans ce cas, il arrive que la cellule meure parce que l’ADN est trop abîmer, ou qu’elle survive par ce que l’ADN arrive à se réparer ou des séquelles peuvent subister, celles-ci peuvent se transformer en cancer de la peau. Le mélanome est la forme de cancer de la peau la plus dangereuse. L’exposition au soleil a souvent un point de départ, qui se transforme en lésion et qui se multiplie au fil du temps. Dans 20% des cas, le point de départ peut-être un grain de beauté qui’il faut surveiller avec soin. Le danger réside dans le fait que le cancer peut-être le résultat des rayons de soleil accumulés depuis l’enfance et sa capacité à se métastaser facilement. Quand elle s’aggrave, elle peut avoir un impact sur les organes vitaux.

Diaphragme bloqué, quelles en sont les causes ?

On dit souvent que le cœur est le muscle le plus important du corps. Mais on a tendance à oublier que le diaphragme est un muscle tout aussi vital. La respiration diaphragmatique permet à notre corps de s’approvisionner en oxygène et de rejeter du gaz carbonique. Mais au-delà de ce rôle basique, la respiration permet également de faciliter la digestion et la suppression des toxines. Grâce à une contraction et décontraction, la respiration effectue un massage qui permet d’activer plusieurs fonctions organiques. Le diaphragme est un muscle plat et fin entre l’abdomen et la cage thoracique. Il est traversé par la trachée, l’œsophage, les veines, les artères, les nerfs, et les vaisseaux lymphatiques. Si le diaphragme venait à se crisper ou à se bloquer, cela peut entraîner des incidences sur tous les organes en relation avec lui. Lorsqu’une personne ressent comme un nœud au niveau de son plexus solaire, une contraction du diaphragme en est à l’origine. Cette contraction est souvent causée par le stress, un choc physique ou émotionnel, le froid, une mauvaise posture, un défaut de tonicité du muscle transverse. Lorsque le diaphragme se crispe, il a tendance à vouloir rester comme tel. Sans traitement, cela peut entraîner l’insomnie, une crise de panique ou même la dépression.

Débloquer son diaphragme ?

Commencez par observer votre manière de respirer. Votre ventre se met-il à gonfler lorsque vous respirez ? Avez-vous le souffle court ? Quelle est sa durée ? Ressentez-vous un blocage ? Par la suite, effectuer les quelques exercices de respiration conseillée sur le site https://www.debloquer-diaphragme.com/ pour libérer votre diaphragme. Répétez la technique plusieurs fois par jour jusqu’à ce que vos muscles se détendent et se relâchent. Si vous avez tendance à respirer par la poitrine, vous devez réapprendre à respirer. Au moment de l’inspiration, votre ventre doit gonfler. Une mauvaise respiration entraîne une déformation et un mauvais fonctionnement de votre diaphragme. La respiration diaphragmatique est la « respiration naturelle ». C’est celle utilisée par les animaux et les bébés. Retrouver cette respiration vous permet de vous relaxer et de lutter contre le stress. Prendre conscience de votre respiration vous aide à mieux vivre. Lorsque vous avez mal quelque part, prenez le temps de vous concentrer sur votre respiration, et vous verrez que la douleur va s’atténuer. En vous concentrant sur votre respiration, vous permettez à votre corps de lâcher prise et de se ressourcer.