Maladies – Clinique Francheville https://www.clinique-francheville.fr Le blog de la santé, du bien être, de la remise en forme Mon, 13 Jan 2020 09:47:50 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.2.4 https://www.clinique-francheville.fr/wp-content/uploads/2018/07/cropped-favicon-32x32.png Maladies – Clinique Francheville https://www.clinique-francheville.fr 32 32 Comprendre les différents types d’infection urinaire https://www.clinique-francheville.fr/comprendre-les-differents-types-dinfection-urinaire/ https://www.clinique-francheville.fr/comprendre-les-differents-types-dinfection-urinaire/#respond Mon, 13 Jan 2020 09:47:50 +0000 http://www.clinique-francheville.fr/?p=296 L’infection urinaire est une inflammation qui touche l’appareil urinaire, au niveau de la vessie, de l’urètre ou des reins. Elle se reconnaît par une envie intense d’uriner, avec une sensation de brûlure, une tache de sang dans l’urine et éventuellement des douleurs dans le bas-ventre. Lorsqu’il s’agit d’infection grave, elle peut s’accompagner de fièvre et de frissons.

Qu’est-ce qui cause l’infection urinaire ?

En temps normal, l’urine est stérile et a un pH acide qui permet d’inhiber la croissance des bactéries. Les bactéries sont expulsées systématiquement par le flux urinaire. De plus, elles ne peuvent pas s’accrocher dans la vessie et l’urètre grâce à leurs parois lisses. Cependant, la bactérie Escherichia coli arrive parfois à s’introduire dans la vessie et dans les pires des cas, à s’acheminer vers les reins. Lorsque vous êtes fatigué et buvez très peu d’eau, vous n’éliminez pas les agents infectieux correctement. De ce fait, ils arrivent à coloniser le système urinaire. La bactérie atteint d’abord la vessie et cause la cystite. Elle touche plus les femmes que les hommes à cause de leur urètre très court. Les bactéries autour de l’anus peuvent alors entrer facilement dans la vessie.

Quels sont les autres types d’infections urinaires ?

Si vous voulez en savoir plus sur les infections urinaires, sachez qu’elles peuvent être bénignes ou plus graves. Quand l’infection urinaire est bénigne, parfois elle part d’elle-même. Toutefois, il est plus judicieux de consulter dès les moindres symptômes. Si la cystite se complique, elle peut se transformer en pyélonéphrite. Dans ce cas, les bactéries ont totalement colonisé la vessie et remontent vers les reins. Le patient souffre, en plus des signes habituels, de fièvre et de frissons. Il faut suivre un traitement d’urgence à base d’antibiotiques qui peut durer des semaines ou des mois. L’infection urinaire est rare chez les hommes, mais elle est plus grave. L’infection touche l’urètre et l’on parle d’urétrite. Néanmoins, il ne faut pas confondre les symptômes avec les maladies sexuellement transmissibles dues par le gonocoque et la chlamydia.

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Hypothyroïdie : symptômes et traitements https://www.clinique-francheville.fr/hypothyroidie-symptomes-et-traitements/ https://www.clinique-francheville.fr/hypothyroidie-symptomes-et-traitements/#respond Fri, 10 Jan 2020 18:17:59 +0000 http://www.clinique-francheville.fr/?p=291 On parle d’hypothyroïdie lorsque la glande thyroïde d’une personne a du mal à produire correctement l’hormone chargée de réguler les fonctions corporelles de l’individu. Les hormones produites par cette glande ont aussi pour mission de réguler le rythme cardiaque d’une personne et d’assurer une bonne digestion. En cas d’hypothyroïdie, la personne constate un ralentissement de son métabolisme.

Les symptômes de ce dérèglement du taux d’hormone thyroïdienne

L’hypothyroïdie résulte généralement d’un dérèglement au niveau de la glande thyroïde. Ce problème concerne de nombreuses personnes de tous les âges, mais le plus souvent les personnes âgées, les femmes enceintes et celles en situation de ménopause. Le plus difficile avec l’hypothyroïdie, c’est que les symptômes ne se remarquent que tardivement. Eh oui, l’hypothyroïdie s’installe de manière très progressive chez un individu. Il est de ce fait possible que le diagnostic du problème ne se fait que des années plus tard.

L’hypothyroïdie peut se présenter sous différents symptômes. Voici cependant les signes les plus récurrents. La personne en baisse d’hormone thyroïdienne est victime de fatigue fréquente, particulièrement intense et qui résiste dans le temps. Il est possible que la fatigue s’accompagne d’une baisse de la température corporelle jusqu’à un cas d’hypothermie aggravée. La victime peut aussi prendre du poids sans raison apparente et être victime d’œdème. Malgré cette prise de poids, l’individu n’a pas beaucoup d’appétit. On peut aussi remarquer que les pulsations de son cœur sont en baisse. La baisse d’hormone thyroïdienne peut par ailleurs engendrer un niveau de cholestérol élevé dans le sang, des troubles de la menstruation chez les femmes, des cas de constipation, une inflammation au niveau du cou (goitre), de la rétention d’eau, etc. Ces signes peuvent apparaitre ensemble chez le malade, mais il est également possible qu’on ne constate que certains d’entre eux. Pour en savoir plus sur l’hypothyroïdie, le site https://www.hypothyroidie.eu/ est l’adresse à consulter.

Comment traiter l’hypothyroïdie ?

Il n’est possible de traiter l’hypothyroïdie qu’avec des médicaments. La prise d’hormone thyroïdienne est recommandée pour cela. Si le cas d’hypothyroïdie provoque l’apparition de goitre au niveau du cou de la personne, la chirurgie est conseillée. Pour le traitement avec les hormones, les doses administrées ne sont que substitutives. Le traitement ne doit pas être étalé trop longtemps dans le temps au risque de causer un autre problème, l’hyperthyroïdie. Parmi les médicaments que le médecin peut prescrire, il y a la thyroxine qu’on retrouve dans des comprimés tels que la Levothyrox. D’autres formes peuvent être présentes sur le marché. Cependant, s’il faut reconduire le traitement, il est conseillé de ne prendre que la forme médicamenteuse choisie au début du traitement et la même. C’est-à-dire qu’une personne qui a pris des comprimés sécables ne doit pas changer son traitement pour une injection ou pour des ampoules buvables. Un changement de forme peut provoquer un dérèglement au niveau du métabolisme de l’individu et renforcer le déséquilibre hormonal. Pour ce qui est de la dose idéale, elle ne doit pas dépasser 1.8 microgramme par kilo, et ce par jour. Il est également recommandé de réduire progressivement la dose administrée au patient. L’arrêt brusque du traitement peut causer une rechute chez le patient et augmenter les risques de dérèglement hormonal.

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Que faut-il savoir sur l’impuissance ? https://www.clinique-francheville.fr/que-faut-il-savoir-sur-limpuissance/ https://www.clinique-francheville.fr/que-faut-il-savoir-sur-limpuissance/#respond Tue, 07 Jan 2020 12:59:15 +0000 http://www.clinique-francheville.fr/?p=284 L’impuissance ou dysfonction érectile se traduit par un dysfonctionnement sexuel comme le manque le problème de libido, d’organisme ou d’éjaculation. L’impuissance, c’est aussi lorsque vous n’avez aucun intérêt sexuel, n’arrivez pas à produire ou maintenir une érection, n’atteignez pas une érection assez forte pour faire un rapport sexuel. Les causes peuvent être physiques comme psychologiques.

Qu’est-ce que l’impuissance chez l’homme ?

L’impuissance est l’incapacité totale ou partielle d’obtenir ou de conserver une érection suffisamment forte pour faire l’amour, jouir et donner du plaisir à l’autre. Elle touche les hommes à partir de 40 ans et particulièrement les plus de 60 ans. Oui mais, elle peut également concerner les jeunes. L’impuissance est donc favorisée par l’âge, mais également par de nombreuses maladies comme le diabète, l’obésité, l’hypertension et les anomalies lipidiques.
Les différentes maladies qui touchent directement l’organe sexuel de l’homme peuvent aussi causer l’impuissance. Citons entre autres l’hyperlapsie de la prostate, l’hypogonadisme ou perte de fonction des testicules, l’hyperprolactinémie ou la maladie de la thyroïde.
La dysfonction érectile peut être liée à de mauvaises habitudes de vie comme le tabac et le manque d’exercice physique.
L’impuissance peut être également favorisée par des troubles endocriniens et des troubles psychogènes. Elle est causée par tout problème affectant le fonctionnement des vaisseaux sanguins empêchant la concentration du sang dans la verge pendant l’érection.

Comment diagnostiquer une impuissance ?

La consultation commence par un questionnaire pour détecter les troubles de l’érection. Les questions posées sont formulées sur 5 axes définis par l’index international de la fonction érectile ou IIEF-5. Vous pouvez consulter un médecin généraliste ou encore un sexologue pour trouver le traitement adéquat. Quoi qu’il en soit, le traitement doit être fixé en fonction de la cause même du trouble, selon qu’il s’agisse d’un problème ayant une cause organique ou psychogène. Ensuite, il faut évaluer la sévérité du cas en fonction du patient. Puis, le médecin peut effectuer un examen physique de la prostate, de l’organe génital externe et des systèmes endocriniens et vasculaires. Il effectuera également une investigation clinique pour analyser le taux de glucose et de lipides, la concentration de testostérone, le taux de prolactine et les fractions HDL et LDL du cholestérol. Il peut aussi examiner l’hémodynamique du pénis pour vérifier si le problème ne vient pas d’une insuffisance artérielle ou d’un problème d’occlusion veineuse.

Comment traiter l’impuissance ?

Comme vous pouvez le voir ici, il existe une solution à l’impuissance. Mais n’oubliez pas que le traitement à adopter dépend entièrement de la cause révélée de la dysfonction érectile. Concernant les problèmes d’ordre organique, il faut parfois adopter une bonne hygiène de vie et pratiquer un exerce physique régulier pour améliorer l’érection. Si la cause est psychogène, il faut entreprendre une thérapie sur le plan psychologique, sexuel et social. Le médecin peut alors vous recommander des thérapies de couple et prescrire des médicaments pour rétablir les troubles érectiles. Ces médicaments servent à augmenter le flux sanguin vers le pénis lors de l’excitation pour retrouver une érection suffisamment forte. Si les médicaments ne sont pas efficaces, on peut vous prescrire l’utilisation de dispositif comme une pompe à pénis ou des implants péniens pour déclencher de façon mécanique l’érection.

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Le cancer du sarcome et ses facteurs de risque https://www.clinique-francheville.fr/le-cancer-du-sarcome-et-ses-facteurs-de-risque/ https://www.clinique-francheville.fr/le-cancer-du-sarcome-et-ses-facteurs-de-risque/#respond Wed, 20 Feb 2019 14:25:53 +0000 http://www.clinique-francheville.fr/?p=207 Il est normal que les personnes atteintes de cancer se posent des questions sur leurs maladies. Bien sûr, la peur y est pour quelque chose, car, si les tumeurs ne sont pas traitées à temps, la mort pourrait frapper à tout moment. Il est donc important d’identifier les causes de la maladie afin d’augmenter ses chances de survie. Justement, voici un article sur le sarcome des tissus mous et ses facteurs de risque.

Aperçu général du sarcome des tissus mous

 

Il faut retenir que le sarcome des tissus mous est une tumeur maligne. En d’autres termes, elle peut se propager à d’autres parties du corps. On peut donc dire qu’il s’agit d’un cancer métastatique. Il se développe généralement dans les cellules des tissus conjonctifs et des tissus de soutien qui ont subi des changements. Plus concrètement, les modifications du comportement cellulaire peuvent engendrer la formation d’une tumeur à l’instar du lipome qui naît dans les cellules graisseuses. La bonne nouvelle c’est que les tumeurs bénignes ne sont pas toujours cancéreuses.

 

Tout type de cancer se formant dans les cellules des tissus (graisses, muscles, vaisseaux sanguins, etc.) est appelé sarcome des tissus mous. Bien entendu, il existe différents types de sarcomes des tissus mous. La plupart d’entre eux se développent dans la tête, au thorax, au cou, dans le bras ou dans une jambe ou dans un bras. Ils peuvent parfois apparaître dans les muscles de l’abdomen. Il faut toutefois éviter de les confondre avec le cancer des os qui est aussi appelé sarcome. Inutile de rappeler que les os et le cartilage ne sont pas des tissus mous.

Quels sont les facteurs de risque des sarcomes des tissus mous ?

 

Il est tout à fait possible d’identifier les facteurs de risque des sarcomes grâce aux avancées scientifiques et technologiques. En tout cas, cette tumeur maligne peut se développer à cause des expositions à des radiations. Mais les premiers symptômes apparaissent en moyenne 10 ans après le traitement (cancer du sein et lymphomes). Une radiothérapie peut donc augmenter le risque d’un sarcome des tissus mous. Par ailleurs, le chlorure de vinyle peut entrainer la naissance d’un sarcome des tissus mous. Raison pour laquelle l’utilisation de ce produit cancérigène est interdite en France depuis 1976.

 

Il convient d’ajouter qu’un trouble génétique héréditaire rare (syndrome de Werner, syndrome de Gardner, syndrome de Li-Fraumeni) peut également entrainer un sarcome des tissus mous. Le rétinoblastome étant une tumeur cancéreuse, c’est l’un des facteurs de risque potentiel. Il se manifeste en général dans le revêtement de l’œil. Il s’agit bien entendu d’un cancer difficilement traitable. Malgré cela, ce type de cancer est tout à fait guérissable. Le lymphœdème chronique (appelé syndrome de Stewart et Treves) peut aussi donner naissance à un sarcome des tissus mous. Certaines personnes atteintes d’une maladie de Paget peuvent développer des sarcomes.

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L’hypertension est-elle héréditaire ? https://www.clinique-francheville.fr/lhypertension-est-elle-hereditaire/ https://www.clinique-francheville.fr/lhypertension-est-elle-hereditaire/#respond Tue, 08 Jan 2019 16:42:19 +0000 http://www.clinique-francheville.fr/?p=188 Crainte par le grand public, l’hypertension artérielle (HTA) est la pression exercée par le sang sur les parois des vaisseaux sanguins. Lorsque les valeurs sont trop élevées, le risque d’accident cardiovasculaire est réel. Divers facteurs, dont la génétique, seraient à l’origine de tension anormalement élevée.

L’hypertension artérielle est héritée des parents

La hausse de la pression artérielle est une affaire de famille. Pour mettre en évidence ce constat, des scientifiques ont observé des jumeaux. Ces frères ou sœurs partagent des patrimoines génétiques communs. Chez les jumeaux monozygotes, les gènes sont presque à 100% identiques. Pour leur part, les dizygotes partagent uniquement la moitié de leur ADN. Au final, l’équipe scientifique a retenu que 30% des risques d’hypertension viennent de la génétique.

L’anomalie sur la pression sanguine dans les gènes

Une étude scientifique sur le facteur héréditaire de la pression artérielle a permis d’aboutir à une conclusion. Les parents souffrant de problème d’hypertension ont 50% de chance de transmettre la pathologie circulatoire à leurs enfants. La même proportion s’observe pour de nombreuses maladies dont le syndrome de Liddle. Cela dit, seul 1 enfant sur 4 nés de deux parents hypertendus héritera de l’anomalie. Les scientifiques essaient d’isoler le génome responsable. Les travaux sont en cours et peuvent encore durer puisque le corps compte 25 000 gènes.

D’autres causes possibles pour cette pathologie

L’observation scientifique a également mis en évidence que les couples ont tendance à devenir hypertendus. Près de 30% d’entre eux vivent avec le HTA en France. Comme explication, il y a le côté héréditaire, mais les habitudes alimentaires se trouvent également à l’origine du problème. Puis, ces duos évoluent dans le même milieu. En général, ils ont très peu de différence d’âge. Quoi qu’il en soit, l’hypertension artérielle peut encore attendre, voire ne jamais survenir, grâce à un régime alimentaire équilibré et 20 minutes de sport au quotidien.

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Que savez-vous sur l’arthrose ? https://www.clinique-francheville.fr/que-savez-vous-sur-larthrose/ https://www.clinique-francheville.fr/que-savez-vous-sur-larthrose/#respond Wed, 07 Nov 2018 18:54:56 +0000 http://www.clinique-francheville.fr/?p=150 L’arthrose est une dégénérescence du cartilage qui assure la jonction des articulations et destiné à empêcher le frottement des os. Contrairement à certaines idées reçues, ce n’est ni un virus ni une bactérie qui en est à l’origine. Ce sont particulièrement les personnes du troisième âge qui en sont affectées, même si on constate de plus en plus de sujets plus jeunes en souffrir aujourd’hui. L’arthrose est une usure qui provoque des douleurs mécaniques aiguës ou chroniques et engendre des difficultés au niveau des mouvements articulaires. Que savoir d’autres sur ce mal si répandu ?

Pourquoi un individu souffre-t-il d’arthrose ?

En fait, les avancées médicales de notre époque ne permettent pas encore de déterminer avec exactitude les véritables causes de cette maladie. Fort heureusement, on connaît les facteurs qui peuvent augmenter les risques de contracter l’arthrose. Il s’agit essentiellement de l’obésité, les prédispositions génétiques ou encore les rhumatismes. Il existe des facteurs aggravants comme les traumatismes physiques importants suite à la pratique de sport violent ou des traumatismes moins importants mais répétitifs. En tout cas, on sait avec précision ce qui se passe : une fissuration grave et profonde des tissus cartilagineux. En fait, c’est la structure du cartilage qui subit des altérations biochimiques.

Des remèdes efficaces pour lutter contre l’arthrose

Pour combattre efficacement contre l’arthrose, les médecines douces et des compléments alimentaires peuvent aider grandement. L’acupuncture semble porter de bons fruits sur l’arthrose du genou et de la hanche. Certaines études ont conclu que le magnétisme parait agir comme sédatif sur les douleurs engendrées par l’arthrose. D’autres médecines douces permettent de soulager les douleurs mais seulement dans une certaine mesure. On peut relever l’homéopathie, l’osthéopathie, la phytothérapie ou l’oligothérapie. Les progrès en médecine donnent de bonnes raisons d’espérer en des soins de plus en plus efficaces.

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Les maladies que votre haleine vous révèle https://www.clinique-francheville.fr/les-maladies-que-votre-haleine-vous-revele/ https://www.clinique-francheville.fr/les-maladies-que-votre-haleine-vous-revele/#respond Wed, 13 Jun 2018 13:22:56 +0000 http://www.clinique-francheville.fr/?p=27 Saviez-vous que l’haleine peut indiquer la présence de nombreuses maladies sous-jacentes ? Contrairement aux idées reçues, se brosser les dents trois fois par jour avec des tonnes de dentifrice ne suffisent pas à la rafraichir. Passer régulièrement chez le chirurgien-dentiste pourrait également être inefficace. Lorsque le problème ne vient pas d’un manque d’hygiène buccale flagrante, la désagréable odeur peut venir d’un peu plus bas.

L’haleine dit long sur la santé du foie

Communément appelée halitose, la mauvaise haleine peut révéler divers problèmes dans le tube digestif. Le problème est parfois localisé au niveau de l’œsophage ou de l’estomac. Des lésions à ces endroits occasionnent des odeurs peu agréables. Parfois, c’est le signe d’un foie encombré. Cet organe se charge de centaine de fonctions notamment pour la digestion des produits azotés. Lorsqu’il est en mauvaise forme, l’azote ne sera plus correctement éliminé. L’odeur fétide de cet élément chimique présente dans l’alimentation humaine remonte alors le long de la voie digestive supérieure pour s’échapper dans la bouche. Parfois, le souci peut aussi venir d’une pathologie hépatique. Dans tous les cas, il faut consulter et adopter une meilleure alimentation. Il faudra aussi penser à faire une cure de détoxification. Cela consiste à mettre le foie au repos pendant quelques jours tout en stimulant son fonctionnement.

Le cycle menstruel serait aussi en cause

L’haleine serait également un révélateur d’un souci au niveau du cycle menstruel. Juste avant d’avoir les règles, les dames connaissent une poussée hormonale. Ce phénomène qui revient tous les mois cause parfois la prolifération de bactéries. Ces dernières sont les premières responsables de l’halitose. Elles élisent domicile dans le tube digestif, en l’occurrence l’estomac. Lorsque ces êtres opportunistes digèrent leur alimentation, à savoir nos restes, ils dégagent un gaz à l’odeur gênant. Ce sont également les coupables pour la formation de plaques dentaires. Alors, pour ne pas avoir une mauvaise haleine juste avant ses règles, il vaut mieux éliminer les bactéries par toutes les manières possibles. Certains aliments sont à éviter. Par-dessus tout, l’hygiène buccale doit être particulièrement soignée avant la période de la menstruation.

D’autres maladies auxquelles il faudrait penser

Il arrive aussi que le problème vienne tout simplement de la langue. Cet organe peut être chargé. Pour connaitre si c’est votre cas, regardez-vous devant un miroir. Sortez la langue et si elle a tendance à être blanchâtre, cela signifie que les bactéries se sont incrustées. Pas de panique, un brossage ou un bain de bouche à base de menthol ou de produit fluoré suffit à dégager les opportunistes. Les amygdales peuvent aussi causer l’halitose. Ce sont surtout les jeunes de 20 à 30 ans qui présentent des problèmes au niveau de ces glandes. Concrètement, des germes choisissent de vivre à ces endroits et occasionnent une véritable pollution. Malheureusement, lorsque le problème est arrivé à un stade avancé, il faut enlever les amygdales avec une opération sous anesthésie générale. Enfin, pensez également au sinus. Une infection localisée à cet endroit vous donnera une mauvaise haleine persistante.

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